Il existe des moyens sûrs et peu dangereux d’identifier votre animal de compagnie. Il faut savoir qu’identifier votre animal est la seule manière de prouver que vous en êtes le propriétaire s’il est perdu ou volé.
Indolore et sans danger.
Chez les chiens ou les chats, cela peut se faire par tatouage ou par puce électronique. A la différence du tatouage, la pose de la puce électronique est indolore et s’effectue sans anesthésie. La puce est posée chez votre vétérinaire par une simple injection sous la peau en quelques minutes.
Mais d’autres animaux aussi ont leur puce électronique: les tortues Radiata, les lapins, les iguanes ou les perroquets peuvent également être ainsi identifiés. La pose peut se pratiquer sur de très jeunes animaux: la puce est inerte et sans danger, parfaitement tolérée par l’organisme. Et après la pose, l’animal n’éprouve aucune gêne.
La lecture de la puce s’effectue au moyen d’un lecteur électronique. Il suffit de placer le lecteur à côté de l’animal et le code s’affiche sur l’écran.
« Une lecture parfaite tout au long de la vie de l’animal »
Ce code est unique et infalsifiable. De plus, la puce permet une lecture parfaite tout au long de la vie de l’animal, contrairement au tatouage qui a tendance à s’effacer avec le temps.
Par ailleurs, tous les vétérinaires, refuges et principales administrations sont aujourd’hui équipés de lecteurs électroniques. Ainsi, où que vous vous trouviez en Europe, votre animal peut être identifié.
La puce électronique est reconnue dans toute l’UE, alors que le tatouage n’est valable qu’en France.
L’identification est obligatoire.
A savoir: la loi oblige l’identification pour un chien de plus de 4 mois, pour un chat de plus de 7 mois et pour une tortue Radiata dès que la carapace du dessous (le plastron) atteint 7 centimètres de long.
Poser une puce électronique est le moyen d’identification le plus moderne, durable, esthétique, facile et infalsifiable.
En Europe, plus de 12 millions de chiens et de chats sont aujourd’hui identifiés par puce électronique.
Publié dans le
Il existe des moyens sûrs et peu dangereux d’identifier votre animal de compagnie. Il faut savoir qu’identifier votre animal est la seule manière de prouver que vous en êtes le propriétaire s’il est perdu ou volé.
Indolore et sans danger. Chez les chiens ou les chats, cela peut se faire par tatouage ou par puce électronique. A la différence du tatouage, la pose de la puce électronique est indolore et s’effectue sans anesthésie. La puce est posée chez votre vétérinaire par une simple injection sous la peau en quelques minutes. Mais d’autres animaux aussi ont leur puce électronique: les tortues Radiata, les lapins, les iguanes ou les perroquets peuvent également être ainsi identifiés. La pose peut se pratiquer sur de très jeunes animaux: la puce est inerte et sans danger, parfaitement tolérée par l’organisme. Et après la pose, l’animal n’éprouve aucune gêne. La lecture de la puce s’effectue au moyen d’un lecteur électronique. Il suffit de placer le lecteur à côté de l’animal et le code s’affiche sur l’écran.
« Une lecture parfaite tout au long de la vie de l’animal »
Ce code est unique et infalsifiable. De plus, la puce permet une lecture parfaite tout au long de la vie de l’animal, contrairement au tatouage qui a tendance à s’effacer avec le temps. Par ailleurs, tous les vétérinaires, refuges et principales administrations sont aujourd’hui équipés de lecteurs électroniques. Ainsi, où que vous vous trouviez en Europe, votre animal peut être identifié. La puce électronique est reconnue dans toute l’UE, alors que le tatouage n’est valable qu’en France.
L’identification est obligatoire. A savoir: la loi oblige l’identification pour un chien de plus de 4 mois, pour un chat de plus de 7 mois et pour une tortue Radiata dès que la carapace du dessous (le plastron) atteint 7 centimètres de long. Poser une puce électronique est le moyen d’identification le plus moderne, durable, esthétique, facile et infalsifiable. En Europe, plus de 12 millions de chiens et de chats sont aujourd’hui identifiés par puce électronique.
Publié dans le Quotidien de la Réunion le 20/04/14.
